Styliste diplômée de l’école « ESMOD » de PARIS et artiste désigner de «l’école nationale supérieure des arts appliqués» de LYON, Andréa de Serre a travaillé avec Monsieur Saint Laurent comme désigner en bijoux et accessoires, pour Monsieur Louis Féraud et pour le groupe Charles Jourdan.
Elle prête sa collection personnelle pour accessoiriser les défilés de robes de soirées et de cocktails organisés par l’association «Paris des Créateurs» afin de promouvoir les nouveaux talents de la mode.
Elle participe également aux soirées caritatives du bal Louis XIV avec Louis Alfonso de Bourbon (Louis XX), des défilés sur les bateaux mouche à Paris et au Richemont Genève, plusieurs expositions avec Tajan, Artcurial et au Ritz.
Elle est directrice de casting depuis 15 ans pour l’association « Paris des créateurs ».
Andréa de Serre avec Estelle Nice, vice-présidente, diplômée d’un master en marketing et commerce international à l’IESEG Paris, et mannequin.
Pour me contacter:
Andréa De Serre
Présidente de Nuances d’Art &
Designer Sculpteur « Fonte à la cire perdue »
andreadeserre@gmail.com ou andreadeserre@hotmail.com
Tel: 00 33 (0)6 81 90 70 79
– Vidéos d’Andréa de Serre –
Happening Onirique 1
Happening Onirique 2
Ces photos ne sont pas libres de droit, la copie est un délit.
Pour ces raisons, les collections d’Andréa de Serre ne sont pas toutes en ligne.
These photos are not free of rights, copying is a crime.
For those reasons, all Andrea de Serre’s collections are not available online.
Andréa de Serre: « Petite femme élégante, vive, curieuse, volontaire et, surtout, éprise de création et d’indépendance […] Styliste en maroquinerie, formée pendant cinq ans à la rude école lyonnaise de La Martinière (qui lui délivra le P.T.A. de professorat de coupe), puis à celle, parisienne, privée et non moins cotée, d’Esmod-Lavigne (qui la promut styliste diplômée après trois ans d’études),[Andréa de] Serre s’était d’abord fait un nom à Ferney-Voltaire, créant des robes de soirée à mailles, très fines, souvent en soie, dans lesquelles Loris Azzaro avait reconnu, à la fois sa propre manière et l’originalité des productions « Isadora-Boutique »: la maison d'[Andréa de] Serre s’était acquis une vraie notoriété habillant les personnels de l’O.N.U. et de l’aéroport, et même Miss Suisse 1975. La styliste connut alors un temps d’interruption: le temps de devenir maman. » (Jean-Guimet, in Le Messager (Haute-Savoie), circa 1987).
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A propos des micro-sculptures d’Andréa de Serre, qu’il soit permis de citer Guy de Maupassant: « Il y a, dans tout, de l’inexploré ». Pourquoi? Réponse de l’écrivain, empruntée à Flaubert: Nous sommes incapables d’une saisie immédiate des objets qui nous entourent! Nous nous servons de nos yeux « avec le souvenir de ce qu’on a pensé avant nous sur ce que nous contemplons. » (Guy de Maupassant, Etretat, sept. 1887). C’est pourquoi, il incombe à l’artiste de regarder ce qu’il veut exprimer « assez longtemps et avec assez d’attention pour en découvrir un aspect qui n’ait été vu et dit par personne. » (ibid.).
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« La vogue du vintage est telle que le mot est désormais sur-utilisé et désigne toute pièce un tant soit peu rétro: fripes, produits de luxe d’occasion, survêtement Adidas des années 1990, pièces rares des années 1940, vêtements chinés aux puces… Recherche de l’insolite, lassitude des productions sérielles des enseignes de fast fashion, nostalgie d’une qualité perdue, distinction par le décalage, avantages financiers, démarche responsable: les ressorts psychologiques de l’achat vintage sont complexes. Et les amateurs ont l’embarras du choix: friperies Kiloshop, Guerrisol, Free’P’Star, spécialiste du vintage de luxe Anouschka, Quidam de Revel, Didier Ludot; La Mode Vintage, Gauthier Borsarello, sites de vente de produits de luxe de seconde main Vestiaire Collective, Grailed, Collector Square… Cet engouement pour les vêtements d’hier révèle de nouvelles façons de consommer la mode et de la concevoir. » (Sophie ABRIAT, « Vintage, l’Ethique du style », LOFFICIEL n° 1015, juin-juillet 2017, p. 119)
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BIJOUX D’ARTISTES, CHEFS-D’OEUVRE MINIATURES
« Quand on ne les porte pas, on peut les exposer comme des sculptures. »
Esther de Beaucé, éditrice de bijoux (Paris), à propos des chefs-d’oeuvre miniatures (Marie-Claire Maison, nov. 2014).
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L’ARTISTE ET LA VOIE DU MECENAT. Le saviez-vous? Le code général des impôts précise que sont éligibles au mécénat : « les œuvres ou organismes d’intérêt général ayant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel ou concourant à la mise en valeur du patrimoine artistique, à la défense de l’environnement naturel ou à la diffusion de la culture, de la langue et des connaissances scientifiques françaises. »(Articles 238 bis et 200 du code général des impôts)
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La très-chère était nue, et, connaissant mon coeur,
Elle n’avait gardé que ses bijoux sonores,
Dont le riche attirail lui donnait l’air vainqueur
Qu’ont dans leurs jours heureux les esclaves des Maures.
Quand il jette en dansant son bruit vif et moqueur,
Ce monde rayonnant de métal et de pierre
Me ravit en extase, et j’aime à la fureur
Les choses où le son se mêle à la lumière.
Elle était donc couchée et se laissait aimer,
Et du haut du divan elle souriait d’aise
A mon amour profond et doux comme la mer,
Qui vers elle montait comme vers sa falaise.
Les yeux fixés sur moi, comme un tigre dompté,
D’un air vague et rêveur elle essayait des poses,
Et la candeur unie à la lubricité
Donnait un charme neuf à ses métamorphoses ;
Et son bras et sa jambe, et sa cuisse et ses reins,
Polis comme de l’huile, onduleux comme un cygne,
Passaient devant mes yeux clairvoyants et sereins ;
Et son ventre et ses seins, ces grappes de ma vigne,
S’avançaient, plus câlins que les Anges du mal,
Pour troubler le repos où mon âme était mise,
Et pour la déranger du rocher de cristal
Où, calme et solitaire, elle s’était assise.
Je croyais voir unis par un nouveau dessin
Les hanches de l’Antiope au buste d’un imberbe,
Tant sa taille faisait ressortir son bassin.
Sur ce teint fauve et brun, le fard était superbe !
Et la lampe s’étant résignée à mourir,
Comme le foyer seul illuminait la chambre,
Chaque fois qu’il poussait un flamboyant soupir,
Il inondait de sang cette peau couleur d’ambre !
CHARLES BEAUDELAIRE
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PURETE DES LIGNES!
« La simplicité n’est-elle pas le privilège des grandes vérités? Plus les découvertes humaines progressent, plus elles se simplifient. Une industrie naissante met dix rouages là où un seul suffira plus tard. Une oeuvre d’art, pour être belle et vraie, doit être simple. » (Henri DURVILLE).
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Magistral ! Quelle quintessence de raffinement ! Tes somptueuses créations exaltent la féminité. Elles mettent en scène tous les symboles de l’élégance et de l’excellence. Merci de perpétuer la tradition et le savoir-faire de la « fonte à cire perdue », dans un esprit d’innovation et de modernité, au service de ces objets du désir. Merci de me faire rêver, de nous faire rêver tous à travers ta créativité et ta personnalité que j’admire…
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Un univers délicieusement riche de poésie et de sens! Plus encore qu’à une créatrice, c’est à une magicienne que nous avons affaire.
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Andréa de Serre est une femme imprévisible. Elle a créé son propre monde esthétique sans préméditation, à partir d’images et de formes qui se sont imposées à elle, comme autant de réminiscences de ses vies antérieures.
Sa fascination pour l’Antiquité résulte d’une magie du geste qu’elle hérite d’un très lointain passé. Lorsque vous comparez des bijoux antiques aux oeuvres d’Andréa de Serre, la similitude est frappante. Et pourtant, l’artiste n’a rien imité consciemment. Tout s’est offert à elle, comme par la révélation d’une mémoire akashique; cette archive du Savoir absolu que de rares médiums savent décrypter.
Le prestige des créations d’Andréa doit beaucoup à cette part archéologique qui fascine tant de collectionneurs.
ANDREA DE SERRE VUE PAR ALISTER DE SAINT OMER
(Auteur, compositeur, interprète)
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Andréa de SERRE ne produit pas de bijoux. Elle crée des oeuvres à porter. Et, parce que l’Art et la parure se rencontrent ici, nous nous sentons questionnés sur l’essence même de toute réalisation artistique, sur les rapports antagonistes ou complémentaires du Beau et de l’Utile. A l’instar de Kant, sommes-nous enclins à concevoir un type de beauté, dépourvu de finalité évidente ou cachée?
« Je ne peux, répond Jean CLAIR, regarder un objet d’art ou de curiosité sans me demander à quoi il peut ou a bien pu servir, dont il a été le serviteur, voire aimé la servitude. » (Les Derniers Jours, Paris, 2013).
Merci, Andréa de SERRE, de rendre l’Art utile à la beauté, à la séduction des femmes, à travers vos miniatures d’or et d’argent; sculptures portatives éblouissantes où se reflètent des mondes immenses, des galaxies aussi vastes que votre imaginaire !
Jean Marcel Dizes
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